SPOILER Quatrieme jour à Riddleport pour une ensorceleuse

Triss attrape alors la main de l'homme, en mouvement vers son menton et tout en la dirigeant langoureusement vers son décolleté se rapproche de l'oreille de l'homme en lui murmurant suavement "5 minutes, c'est bien plus qu'il ne me faut pour t'envoyer côtoyer les anges bel étranger et l'on peut bien t'attendre si peu de temps, pas moi quand j'ai envie...". Tout en pressant sa poitrine contre son torse, elle ajoute : "pose-donc et attache ces 3 marmots dans un coin et laisse-moi t'accorder un rapide mais pur instant de plaisir...Tu ne regretteras pas ton argent et moi je n'ai pas souvent l'occasion de m'adonner aux plaisirs charnels avec un si bel homme fort bien bâti et vigoureux". Elle finit en commençant à relever son jupon à hauteur de sa cuisse gauche...

utilisation de bluff / diplomatie (invocation du 10)

Hesitant un instant
- T'es chaude toi
Il se retourne vers les gamins et se servant des deux paires de menottes il attache les 3 enfants puis leur envoyant une volée de coup dans les jambes malgré leur cris de douleur, les fait tomber au sol dans un coin. Certains passants se retournent mais nul n'intervient (Triss note un homme aux vétements de cuir usés à l'air inquietant qui lui sembla assez dégouté par les actes du gars mais ne fit rien que se poser plus loin bouteille à la main).

L'homme se retourne vers Triss, le sourire charmeur, il vient vers elle et se collant à elle il la pousse contre un mur de la ruelle. Sa main droite derriere la fragile nuque de la varisienne pour lui attraper fermement les cheveux et tirer sa tete en arriere pour commencer à l'embrasser goulumant dans le coup, de sa main gauche il defait rapidement sa ceinture et commence à remonter les jupons de Triss

Tout en continuant de feindre avec conviction son rôle de tentatrice, Triss réfléchit rapidement à la situation et à la manière de neutraliser son entreprenant prétendant. Elle se rappelle qu'Oparal, lors de leur mission nocturne, lui avait recommandé de ne pas user de magie pour éviter de laisser des traces trop engagées de leur présence sur les lieux. Il va donc falloir venir à bout du bougre par un autre moyen. Elle pense alors à Diosneas attaché à sa cuisse droite. Si elle veut l'utiliser, il va vite falloir qu'elle empêche l'homme de mettre la main dessus alors qu'il retrousse ses jupons.

Tout en dégrafant son corsage de la main gauche en invitant le bougre à y plonger la tête et la main droite, elle finit elle-même de remonter son jupon côté cuisse droite, retire discrètement le stylet de sa main droite et enroule ses jambes autour de l'homme pour resserrer son étreinte.

Tout en se pressant contre lui, espérant qu'il n'aie rien vu, ses yeux et ses mains trop affairés ailleurs, elle attendra le bon moment avec l'intention de frapper de la pointe de son stylet son malheureux partenaire en plein dans sa nuque à découvert... Si sa tentative échoue, elle risque d'être en fâcheuse position, elle n'a donc pas le choix, elle doit réussir du 1er coup...

Souffle court, le coeur emballé Triss ne peut s'empecher d'avoir un haut le coeur alors que l'homme s'affale à terre. Tuer une personne avec un sort à distance est une chose mais tuer une personne contre vous, sentir son sang sur ses mains, voir la vie quitter les yeux de la personne ... une expérience peut ragoutante et surement très marquante.
- La piqure de la guepe ca fait mal blereau. Mmmhh Sexie, mystificatrice, tentatrice, du sang justement versé sur ses mains tu me plais de plus en plus maitresse sussure doucement Diosneas. Mais te faus vite enchainer ma petite guepe si tu ne veux pas remplacer ses enfants
Voilà notre héroine dans une ruelle de ce salle quartier avec un homme mort à ses pieds, trois enfants terrifiés qui la fixent surement persuadés d'être des temoins génants et plus loin le vieux les fixes toujours sans rien dire, il est dix heures du matin ...certains passants lancent des regards curieux de loin, un journée radieuse à l'horizon
- M'dame on dira rien m'dame nous tuez pas lance le halfling ...

Triss, encore sous le choc de la portée de son geste, respire un grand coup et fouille les mains encore tremblantes le corps de l'homme à terre dans le but de retrouver la clef des menottes afin de libérer les enfants. Tout en s'affairant pas très à l'aise et peu coutumière de ce genre de choses, elle répond aux halfing : "Je n'ai fait ça que pour vous délivrer, c'est la petite Alice qui m'a parlé de toi elle était inquiète pour toi et ne savait que faire...moi non plus d'ailleurs mais je ne pouvais pas vous laisser aux mains de ce tortionnaire." En espérant qu'elle trouve un moyen de les détacher, Triss dira alors aux enfants de se cacher ou de rentrer chez eux et de ne rien dire de la scène qu'ils ont pu voir. Elle essayera quant à elle de trouver un moyen de se dépêtrer de cette sale situation en laissant le minimum de traces ou de témoins. Elle regardera quand même sur le corps de l'homme qu'elle a occis qui il était, pour savoir si elle risque d'avoir beaucoup de problèmes en ayant agi de la sorte... Elle ne pourra s'empêcher de se dire à elle-même "bon sang mais qu'ai-je fait...", tout en étant quand même soulagée de savoir les enfants libérés.

Le corps de l'homme

Equipement ayant vécu mais de qualité correcte ... mais trop propre pour s'occuper de chiens et autres bestioles, il doit etre un membre important d'un petit reseau

-Triss dira alors aux enfants de se cacher ou de rentrer chez eux et de ne rien dire de la scène qu'ils ont pu voir

- Mais mais ils vont nous tuer si on s'echape lance le garcon
- Bha je suis pas d'ici mais au moins je creverai libre lance le demi orque en prenant un gourdin. T'es bien l'humaine, si j'en tue un je te le dedirai.
- Allons les gars écoutez la dame fuyez ... relance le halfling.
- Je sais pas ou je suis, j'ai nule part ou rentrer alors bof pourquoi courir lance l'orque
...
Voilà